L’IME a eu l’occasion d’expliquer plus précisément ce qu’était le mentorat entrepreneurial. Fabrice Geffroy, délégué général de l’IME, Pascal Teurquetil, Président de Glen Dimplex Holding France et mentor et Farid Lalhou, cofondateur de BonjourCyber, ancien mentoré devenu mentor, ont répondu aux questions d’Arnaud Ardoin.
Une des spécificités du mentorat est de travailler sur l’humain, de s’intéresser à l’entrepreneur pour in fine faire grandir son entreprise. Ce ne sont pas que des sujets extrêmement spécifiques à l’entreprise qui sont abordés mais le mentor et le mentoré, dans le cadre d’une relation de confiance, évoquent des sujets et problématiques beaucoup plus personnels. Cette confiance aide le mentoré à soulever des points importants de sa vie entrepreneuriale, sans que le mentor ne le conseille. Seules des questions permettent au mentoré de se diriger sur la bonne voie.
Le mentoré, une fois admis, après un comité d’admission, est “matché” avec un mentor. La connaissance extrêmement précise des mentorés et mentors permet d’allier deux entrepreneurs de secteurs d’activité différents pour envisager la meilleure relation possible.
Selon nos enquêtes, 90% des mentorés sont satisfaits de leur expérience, 80% veulent recommencer une nouvelle relation mentorale et 70% se disent prêt à devenir mentors. Cette forte satisfaction est dû au fait que les entrepreneurs mentorés ont une croissance moyenne de leur chiffre d’affaires de 25% par an sur le long terme, et pour la moitié d’entre eux, de plus de 50 % par an pendant la période du mentorat et les années qui suivent.
Cette forte satisfaction est dû au fait que les entrepreneurs mentorés ont une croissance moyenne de leur chiffre d’affaires de 25% par an sur le long terme, et pour la moitié d’entre eux, de plus de 50 % par an pendant la période du mentorat et les années qui suivent.
