Rencontre avec Raphaël Haïk, fondateur d’Agyla et nouveau mentoré, accompagné par son mentor Jean-René Lyon, directeur du Ceisar
Raphaël, comment imaginez-vous Agyla dans trois ou cinq ans ?
Ce sera une ETI internationale avec probablement à son actif, une ou deux croissances externes, et des salariés heureux et épanouis. Des paliers vont être passés avec succès. Plusieurs chantiers nous attendent : une structuration des rôles dans le back-office, le démarrage de nouvelles activités comme le marketing ou la communication. Je compte également construire une réputation sur le marché, et surtout, rendre Agyla autonome et perdre l’aspect intuitu-personae.
Jean-René, observez-vous une évolution des profils depuis que vous accompagnez des mentorés ?
Je ne note pas de différences dans la définition même d’entrepreneur de croissance mais les profils et les problématiques changent lors de chaque mentorat. Les fondamentaux sont toujours les mêmes : des réflexions surgissent autour de la stratégie, des produits… Quant aux problématiques, elles sont propres à chaque entrepreneur selon le stade de développement de la structure, de l’activité ou de la personnalité du dirigeant.